Sur le blog Sophielit

(…) “Je suis plutôt attirée par les auteurs contemporains mais il en va de la littérature comme des êtres humains : ce qui fait qu’on aime est un ensemble complexe, magique. J’entre dans un livre avec la même curiosité, la même gourmandise que lorsque je fais la connaissance de quelqu’un. Je sais vite quand je vais… Poursuivre la lecture Sur le blog Sophielit

“A défaut d’Amérique” par Stéphanie Joly

(…) Carole Zalberg nous offre un voyage à travers les femmes, où de chair en chair, on voit ce qui a construit la génération suivante. Pour autant, elle ne prétend rien enseigner ni expliquer. Chaque génération prenant ce qui lui est légué, pour devenir ce qu’il en fera, devenir ce qu’il voudra bien faire de… Poursuivre la lecture “A défaut d’Amérique” par Stéphanie Joly

A propos de “A défaut d’Amérique” dans Sud Ouest

“L’auteur accompagne ses personnages, semble les tenir par la main, refuse de les juger.” (…) “Combien d’années encore pour réintégrer l’homme, si fragile, si grand, dans l’humanité, dans le monde ? Que cette intégration se fasse quelque jour, malgré sa souffrance, à cause de sa souffrance, Carole Zalberg n’en doute pas. Un mouvement de bascule… Poursuivre la lecture A propos de “A défaut d’Amérique” dans Sud Ouest

La Librairie Les Cordeliers parle de “A défaut d’Amérique”

Après L’invention du désir en 2010 qui fut notre première rencontre avec l’écriture sublime de Carole Zalberg, À défaut d’Amérique nous enchante à nouveau par sa virtuosité et la justesse des images dont elle sait user au besoin quand il s’agit par exemple de renvoyer à son ménage celle qui a fait de sa vie une suite de renoncements : « Fais ta poussière, va. Le chiffon, au moins, il t’obéit. »