Une analyse-réaction pleine de sensibilité, par Valérie patriarche

Un arbre et un auteur… Lequel des deux nous raconte une histoire ? Est-ce l’histoire d’un arbre racontée par un auteur ou bien l’histoire des hommes racontée par un arbre ? Dans les mémoires d’un arbre de Carole Zalberg, on dirait que l’arbre, être vivant mais végétal, s’est servi de l’auteur comme de l’outil lui permettant de s’exprimer ! L’arbre, dont le bois fait « les pages sur lesquelles les hommes réinventent leur histoire », se donne entièrement dans ce livre dont Carole Zalberg ne serait que l’humble traductrice

Une réaction poético/philosophique de Iannis Pledel

(à propos de Chez Eux) Dieu est mort, Ainsi, Dieu est mort, pourrait être l’épitaphe de cette triste période…historique, aimerait-on rajouter…aimerait-on…n’est-ce pas ? Mais, aimerait-on ? Oui sans aucun doute, toujours. Ni mort ni abandon ne souffriront le déclin des doux leurres de l’amour. Quand le paradoxe d’une phrase est à double tranchant comme celle-ci.… Poursuivre la lecture Une réaction poético/philosophique de Iannis Pledel

Une réaction historico/coup de gueule de Frédéric Bourtayre

Il y a quelques mois, Carole m’a fait parvenir le manuscrit de « Chez eux ». Conscient de la valeur salutaire d’une lecture attentive mais néanmoins rapide sur les nerfs d’un auteur (je suis moi-même auteur !) je m’attelai aussitôt à mon devoir de lecteur. Peu doué, et encore moins qualifié pour la critique littéraire,… Poursuivre la lecture Une réaction historico/coup de gueule de Frédéric Bourtayre

Sélection de Noël de la RTBF

Magnifique également, le deuxième livre de la trilogie consacrée par Carole Zalberg aux femmes d’une même lignée. Paru en janvier 2009 chez Albin Michel, “Et qu’on m’emporte” est la digne suite de “La mère horizontale”. On suit les errements d’une mauvaise mère, Emma, qui fait le point au soir de sa vie sur les abandons, les renoncements et les errances d’une vie éprise de liberté. Les mots sont cinglants, les phrases économes et étincelantes. Mais derrière le style sublime et non-ostentatoire, la plume ne glisse jamais gratuitement sur la feuille.

Dans Ouest France à propos d'Et qu'on m'emporte

Ouest France, le 22/04/09 “Quelle ironie, n’est-ce pas? Me voilà couchée sur le dernier lit, clouée devrais-je dire : plus jamais debout vive à me mouvoir ni désirer ni frémir…” Emma se meurt d’un cancer. elle qui a toujours privilégié son plaisir, au point d’abandonner sa fille d’un premier lit, songe à celle-ci, disparue de… Poursuivre la lecture Dans Ouest France à propos d'Et qu'on m'emporte