» (…) Un roman d’une rare puissance, tragique et poétique, dans lequel on sombre corps et âme… Coup de cœur ! »
Rentrée d’hiver 2017
Prix Simenon (prix littéraire de la ville des Sables d’Olonne)
janvier 2016
janvier 2014
« Je dansais » sur la route de Jostein
« (…) Une fois de plus, Carole Zalberg signe un roman puissant et poétique sur des thèmes forts qui lui sont chers. Fille d’une enfant caché, son œuvre est marquée par la résilience. Ses romans sont souvent l’occasion de montrer le poids de la transmission filiale, de porter la féminité, de disséquer la part d’humanité ou de monstruosité enfermée en chacun de nous et de donner une voix aux exilés et aux femmes.
Mon avis peut être partial parce que je suis, à chaque fois, subjuguée par la langue magnifique de cette auteure qui, en quelques pages, me bouleverse par ses mots et ses messages. »
La chronique complète :
Conférence sur « Feu pour feu » à l’université inter-âges.
Pour inaugurer, le 9 février 2017, son cycle de conférences intitulé : LES VOIX FÉMININES ET SINGULIÈRES DU ROMAN ACTUEL, Antony SORON, Maître de Conférences de Lettres à l’ESPE, à présenté « Feu pour feu »
et en a profité pour s’attarder sur les enjeux de l’adaptation théâtrale en présence de Gerardo Maffei, metteur en scène, et Assane Timbo, comédien qui portera seul le texte au Théâtre de Belleville à partir du 19 avril. Dates et horaires là.
Voici quelques photos de ce bel après-midi:
« Je dansais » sur Lecteurs.com
« (…) J’avais beaucoup entendu parler de Carole Zalberg mais jusqu’à présent je n’avais encore jamais eu l’occasion de la lire. J’ai découvert la profondeur de sa réflexion et la qualité de son écriture grâce à ce terrible et magnifique roman et je la classe désormais dans mes indispensables ! (…)
« Je dansais » dans l’Etoile et le jasmin
Agenda 2017
6 janvier à 21 h : L’étoile et le jasmin, Judaïque FM, 94.8
Du 20 au 24 mars : festival Bellas Francesas à Bogotá, Colombie
26 mars de 17 à 18h : dédicace sur le stand Grasset au Salon du Livre de Paris
Du 30 mars au 2 avril : Escale du livre à Bordeaux
2 avril : dans le cadre de l’Escale du livre, lecture musicale, « Du sombre au clair » chants d’apocalypse, avec Clément Walker-Viry
7 avril : soirée autour de la revue Apulée, Maison de la poésie
8 et 9 avril : Salon du livre d’Autun
13 avril à 20h : rencontre autour de la pièce Feu pour feu et de « Je dansais » à la librairie Le comptoir des mots en présence de Fatima Soualhia-Manet
15 avril à 17H30 : lecture rencontre À Libreria, librairie italienne – Entrée libre
89 rue du Fbg Poissonnière Paris 9e
21 avril : café littéraire à Brunoy
Du 19 avril au 9 juillet : « Feu pour feu » au Théâtre de Belleville. Mise en scène Gerardo Maffei, avecFatima Soualhia-Manet.
Du 27 au 30 avril : Lecture en tête, Laval
14 mai : salon du livre de la Wizo
20 et 21 mai : Salon Epoque, Caen. Le 21 de 17h15 à 18h30, table ronde avec Yvan Jablonka et Minh Tran Huy « faits divers, faits de société, faits littéraires »
23 mai : café littéraire à Ville-di-Pietrabugno
24 mai : »Du sombre au clair, l’apocalypse en dix chants » avec Clément Walker-Viry à la Villa Gaspari Ramelli, en Corse
Du 31 mai au 2 juin : présentation de « Je dansais » et lecture musicale avec Clément Walker-Viry des chants d’Apocalypse à Brasov, en Roumanie
24 juin : festival Clameurs, Dijon
Dimanche 17 septembre : Fête de l’Huma, village du livre, de 14h à 18h
Lundi 9 octobre : remise du prix Simenon pour « Je dansais »
Dimanche 15 octobre : Foire de Francfort
vendredi 20 octobre : entretien avec Louis-Philippe Dalembert aux Silos, à Chaumont, 18h30
17 et 18 novembre : festival Belles Latinas à Lyon
Du 20 au 25 novembre : Les petites Fugues à Besançon
Du 6 au 10 décembre : Festi-livres, Riscle
« Je dansais » sur le blog Fattorius
« (…) On l’a compris: si tout commence entre deux personnages, l’auteure sait élargir le propos pour en faire quelque chose d’universel.(…) »
« Je dansais » sur le blog Les lectures d’Antigone
« Tu ne savais pas qui dansait dans ce livre quand tu as répondu oui… à Carole Zalberg. Mais tu avais lu A défaut d’Amérique, alors tu savais donc déjà (par contre) que tu aimerais l’écriture… Tu ne savais pas non plus que l’on pouvait écrire de nouveau sur l’enfermement, et aussi bien, après le bouleversant et prodigieux Room… mais si.(…) »
« Je dansais » sur le blog L’or des livres
(…) Le sujet ne pouvait que toucher cette auteure sensible à l’enfermement (au sens large) et aux enfances abîmées qui s’est toujours intéressée aux femmes et à l’ambivalence de ce désir parfois mortifère qui fonde pourtant le vivant, ainsi qu’aux effets destructeurs ou salvateurs du regard de l’autre sur l’image de soi. Une auteure semblant hantée par cette sorte de fatalité qui s’acharne sur les femmes mais aussi fascinée par cette capacité à «tenir» au cœur de l’horreur, à s’accrocher à la moindre bribe d’espoir, si infime soit-elle. Au feu de la vie.(…)
« Je dansais » sur le blog Litteratum amor
« Le lecteur entre véritablement dans les livres de Carole Zalberg, ce n’est pas une métaphore.
Depuis « Feu pour feu », je trouve dans cette lecture une qualité d’épure qui me bouleverse mais immergée dans une musique hypnotique, c’est à dire circulaire.
Trois voix, celle de la petite fille enlevée, celle du ravisseur et celle des parents.(…)