Rentrée d’hiver 2017
Prix Simenon (prix littéraire de la ville des Sables d’Olonne)
janvier 2016
janvier 2014
« Feu pour feu », la pièce, sur le blog La grande parade
« (…) Le texte de Carole Zalberg se singularise par ce système d’écho, quasi polyphonique, qu’elle instaure, impose, grâce à la mise en scène de l’italien Gerardo Maffei, L’auteure a choisi de ne pas donner la priorité à une seule voix, celle du père/mère, mais bien à deux voix, faisant se répondre le discours paternel à celui de sa fille enragée. Si tout est vraisemblable depuis la survie au massacre, jusqu’à l’incendie involontaire de l’immeuble, en passant par le passage dans des centres pour migrants, rien ne permet d’indiquer précisément les lieux de l’action. Feu pour feu tend ainsi vers l’universalité, comme le suggèrent les images vidéos diffusées en fond… d’écran. Il s’agit bien d’un « mauvais » film, ou plutôt d’un film d’horreurs, que l’Humanité nous impose depuis des lustres. Et dont pourtant surgit encore et toujours une note d’espoir, un cri de révolte, un appel à la résistance, plus qu’à la résilience.(…)
Feu pour feu au Théâtre de Belleville
FEU POUR FEU
CRÉATION – PREMIÈRE FRANÇAISE
Texte Carole Zalberg
Texte édité aux éditions Actes Sud, collection « Un endroit où aller »
Ce texte a reçu le Prix Littérature-Monde 2014 et le Prix des Lycéens d’Ile-de-France 2014.
Mise en scène Gerardo Maffei
Avec Fatima Soualhia-Manet
Assistanat à la mise en scène Francesca Cominelli
Décors et costumes Marta Pasquetti et Federica Buffoli
Création lumière Boris van Overtveldt
Création sonore Lorenzo Pagliei
Aide à l’écriture gestuelle Sonia Alcaraz
Vidéo et photographie Guendalina Flamini
production théâtre de belleville – avec le soutien de lilas en scène
durée 1H15
Théâtre de Belleville
94 rue du Faubourg du Temple 75011 Paris
Métro Goncourt (L11) ou Belleville (L2 ou 11) – Bus 46 ou 75
www.theatredebelleville.com
Réservations 01 48 06 72 34 l reservations@theatredebelleville.com
Tarif plein 25€ l Tarif réduit 15€ l Tarif jeune 10€
Tarif abonné 10€
« Je dansais » dans Livrés à domicile
Entretien autour de « Je dansais » sur Le quotidien Julia
« (…)En tant qu’écrivain, je ne fais que cela, creuser, chercher sous la surface, démonter les mécanismes, les enchaînements, les déraillements. Il est évident, je crois, que je ne cautionne rien des actes d’Édouard. Tout le roman met au jour cette violence qui, si souvent, infuse le désir des hommes. Mais il ne m’appartient pas de décider si l’on doit pardonner ou non et à qui. C’est une chose intime, le pardon.(…) »
« Je dansais » par l’écrivain François Prunier
« (…) « Je dansais » ajoute une pierre à une œuvre à la fois personnelle et universelle, propre à un auteur qui s’appuie sur son monde intérieur, ce qui est la marque des vrais écrivains. Dans la lignée d’une Marguerite Duras. »
« Je dansais » sur ActuaLitté
« (…) Une économie de mots, une émotion ardente arriment solidement le lecteur au texte, sans possibilité de détour ou de détachement. Aussi, peu importe l’âpreté et la noirceur de l’histoire, il les éprouve, pénétré par l’écriture poétique, possédé par le rythme alterné des voix, transpercé par les cris de désespoir, les tourments intérieurs, la folie de l’enfermement.(…) »
« Je dansais » dans Paroles de Corse
« Je dansais » sur RCF
« (…) Je me méfie de cette littérature qui voudrait parier sur un sujet violent au possible pour tenir son lecteur. Sauf que c’est Carole Zalberg qui écrit, que sa langue ne m’a jamais déçue et que sa sensibilité à raconter la douleur avec délicatesse m’a souvent subjuguée. (…) »